
Après une ouverture musicale, la comédienne lit le texte retenu que chaque participant reçoit. La philosophe explique le contexte, puis engage les échanges avec les festivaliers pour en décoder le sens.
Que se passerait-il si l’autre n’était pas là? Si autrui manquait? Que deviendrait notre monde sans la présence en lui, partout et toujours, des autres? C’est à une médiation participative sur l’absence, et donc aussi sur la présence, que nous convie Pascale Seys à partir d’un extrait des Phares de Virginia Woolf, d’un poème de John Donne, No Man is an Island, et de Michel Tournier, dans Vendredi ou les limbes du Pacifique